vendredi 25 janvier 2008

Diane (Kruger) et Nicolas (Freddy)


Sans vouloir être machiste (heu quoique !), je dois bien avouer que Diane Kruger est l'une des plus belles femmes que je n'ai jamais interviewée(s). C’est vrai qu’elle est belle. Ses yeux bleus sont envoûtants. Sa blondeur est ensoleillée. Bref, elle a tout pour plaire. Née le 15 juillet 1976 à Hildesheim, en Allemagne, Diane Heidkruger étudie la danse classique à la célèbre Royal Ballet School de Londres. Le petit rat de l’opéra se transforme alors en belle souris et s’inscrit au Cours Florent à Paris. Mannequin le jour, actrice la nuit (ou alors c’est contraire), elle enchaîne les podiums et les tournages. Voilà comment, finalement, on devient un phantasme. Mais attardons-nous plutôt sur son talent et sur son dernier film "Benjamin Gates et le livre des secrets" (en salles depuis le 2 janvier)...
Vous êtes une fois de plus très belle dans ce film. Quel est votre secret de beauté ?
Le sport. Surtout quand je suis en tournage. C’est une discipline de vie que je m’impose quand je travaille pour être dans le rythme. Quand je suis en vacances, j’aime ne rien faire (rires).
Des vacances, vous ne devez pas en prendre souvent car vous tournez beaucoup. Ces derniers mois, on vous a vue dans « Goodbye Bafana » et dans « Copying Beethoven »…
J’ai la chance de recevoir des rôles intéressants. Ce serait bête de les refuser. Et ce n’est pas fini car, cette année encore, j’ai tourné dans « The hunting party » avec Richard Gere en Bosnie.
Des rôles toujours différents. C’est important pour vous de varier ?
C’est primordial même. Je n’ai pas envie qu’on me colle une étiquette. C’est déjà assez difficile comme ça car je suis mannequin à la base. Je n’ai pas envie d’être cataloguée comme étant une mannequin de plus qui se lance dans le Cinéma. Jouer la comédie est une passion chez moi que j’aimerais assouvir longtemps encore.
Vous êtes une actrice internationale. Vous tournez aussi bien en anglais qu’en français…
Ou en allemand (rires) ! C’est un avantage, c’est vrai. Mais c’est aussi un handicap, car partout où je vais, je suis une étrangère. Notez que je double moi-même mes rôles en anglais, en français et en allemand.
Finalement, sur quel continent préférez-vous travailler ?
J’aime travailler en France car c’est le premier pays qui m’a donné ma chance. Aux Etats-Unis, les projets qu’on me propose sont tout aussi fascinants que démesurés. Je me répète mais, ce que j’aimerais c’est continuer ce métier, n’importe où, le plus longtemps possible !

Aucun commentaire: